Si vous êtes sur ce site, c’est que le stunt vous intéresse un tant soit peu. Cependant, dans cet article, il ne s’agit pas d’évoquer le stunt mais d’une autre discipline également réservée à tous ceux qui n’ont pas peur de l’extrême. Et à ce titre, il se pourrait que beaucoup de passionnés de Stunt s’y lancent ! Cette discipline, c’est le Flat Track !
Le Flat Track : une discipline violente et complexe d’apparence
Le flat track se pratique sur de la terre glaise, extrêmement compactée. C’est donc généralement sur un circuit spécialement aménagé que les entraînements et les compétitions sont organisés. Sur ce terrain spécifique, les motos glissent à vive allure ! C’est dire qu’il est nécessaire d’en parfaitement maîtriser la conduite pour s’en sortir. Et pour davantage de difficultés, les pneus des motos subissent une légère transformation : elles sont à la fois grandes et larges (elles deviennent ainsi quelque peu disproportionnées par rapport à la taille de la moto), leur gonflage est négligé et elles sont peu structurées. Vous l’aurez compris, non seulement vous aurez à maîtriser la piste, mais en plus, vous devez savoir maîtriser et gérer ces pneus spéciaux. D’autant que les motos ne sont pas dotées de freins avant.
Une initiation facile
A la différence du Stunt, concentration, attention, faculté d’anticipation et d’adaptation sont capitales pour la pratique du Flat Track. Le Stunt, lui, est avant tout un sport d’habileté et de dextérité. Dans les deux cas, la vitesse est de rigueur. Mais on vous rassure, l’initiation au Flat Track est assez aisée, pour peu que vous soyez familier à la conduite de la moto en terrain difficile (une piste boueuse par exemple). Et si dans le Stunt vous avez besoin de mois d’entraînement pour commencer à en maîtriser les figures, dans le Flat Track, quelques semaines de pratique et vous êtes sûr de pouvoir passer aux choses sérieuses. D’après les passionnés, les sensations procurées par le Flat Track sont particulièrement intenses.